Nous sommes actuellement dans une ère immergée par la domination de « la privatisation et du capitalisme » dans la plupart de nos accès Internet ou connectivité. Mais cet article ne se concentre pas sur la critique de cette industrie, mais montre plutôt quelques alternatives à développer dans nos espaces de travail.
D’abord, il est important mentionner la signification d’un logiciel libre : « est un logiciel dont l’utilisation, l’étude, la modification, la duplication et la diffusion sont universellement autorisées sans contrepartie financière. Les droits correspondant à ces libertés peuvent être simplement disponibles ou établis par une licence dite « libre » basée sur le droit d’auteur » (Système d’exploitation GNU) et ces logiciels vont permettre quatre libertés d’utilisation :
« – La liberté de faire fonctionner le programme comme vous voulez (liberté 0)
– La liberté d’étudier le fonctionnement du programme, et de le modifier comme vous le souhaitez (liberté 1)
– La liberté de redistribuer des copies, donc d’aider les autres (liberté 2)
– La liberté de distribuer aux autres des copies de vos versions modifiées (liberté 3) » (Système d’exploitation GNU)
Donc, pour rentrer dans le sujet précis de cet article, je trouve que c’est une initiative pour le monde du développement durable et à la fois nous permettre à nous comme travailleurs sociaux connaître des outils qui nous aide à faire un travail efficace.
Dès ue perspective de développent durable, ces logiciels répondent à une aide collective pour travailler face au monde, en tenant en compte « les objectifs du développement durable » établis pour l’Organisation des Nations Unies, donc ces logiciels donnent des avantages pour l’environnement (écologie te recyclage), pour l’économie (économie locale et Indépendance technologique) et pour le social (création collaborative).
Dès la perspective sociale, les logiciels libres nous permettent remodeler et modifier afin de l’adapter aux besoins des travailleurs sociaux, en plus de permettre un travail collaboratif dans la structure. Mais le plus important est en ce qui concerne l’éthique et les valeurs du travailleur social, car nous devons être congruents avec nos pensées et la mise en œuvre des actions pour lutter contre un système capitaliste, en plus d’encourager une économie locale, la participation de différents acteurs et la préservation de l’environnement.
En conclusion, les logiciels libres sont un équilibre entre les piliers du développement durable et la participation (rôle) du travailleur social.
Article rédigé par
Daniela VARGAS MENDOZA